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 Vous êtes arrivé au pensionnat Kaijuu !

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AuteurMessage
Jason Boom
- Détraqué d'la bande -
Jason Boom


Messages : 11
Date d'inscription : 24/04/2011

Feuille de personnage
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Ordre: Pensionnaire

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MessageSujet: Vous êtes arrivé au pensionnat Kaijuu !   Vous êtes arrivé au pensionnat Kaijuu ! Icon_minitimeDim 24 Avr - 21:40

« Aoi Takumi. »

Un temps.

« Jason Boom.
- Sur votre carte d'identité il est marqué Aoi Takumi !
- Jason Boom. »

Un Clac! sonore résonna dans la pièce. La latte en fer de la sous-directrice dont il n'avait pas retenu le nom venait de heurter son visage avec violence.

« Allons du calme, tempéra le directeur en prenant la règle des mains de la femme et en jouant avec, vous vous appelez bien Aoi Takumi jeune homme, n'est-ce pas ? »

Jason, dont la vue se brouillait légèrement, eut du mal à prononcer un autre mot qu'un simple :

« Oui.
- Bien Madame, notez donc Aoi Takumi.
- Jason Boom.
- Silence jeune homme. »

S'il y avait bien quelque chose sur lequel le brun avait du mal à garder son sang froid, c'était bien son nom. Personne ici ne devait savoir qu'il s'appelait ainsi. Cependant, cet internat avait l'air plus costaux que la maison de redressement à laquelle il avait autrefois eut affaire. La latte qui tournait dangereusement dans les mains du directeur pouvait lui faire mordre la poussière, il en avait conscience. Avec ces mains attachées tenté une fuite en leur laissant sa carte d'identité et son véritable nom aurait été une erreur fatale. Il était condamné à rester ici jusqu'à la fin de ses années de lycée. Surement...

« 18 ans. »

Cette fois il ne répondit pas. Pourquoi cette femme avait-elle donc besoin de prononcer à haute voix toutes ses informations personnelles ? On aurait dit qu'elle cherchait à le provoquer. Il se retint de soupirer et se contenta de la regarder inscrire sur une feuille officielle ses informations personnelles.

« Casier judiciaire non-vierge. »

Elle cherchait une insulte à chaque mots, le jeune homme se doutait qu'au moindre faux pas il serait sévèrement puni, et le fait qu'il ne réponde pas semblait énerver d'autant plus la femme en face de lui. Pouvait-on punir quelqu'un pour manque de réaction ? Certainement.

« Tentative de parricide avec une batte de baseball, vols. »

Il se retint de bailler. En effet il devait être assis sur cette chaise depuis au moins deux heures. Il était arrivé tôt le matin après avoir passé une nuit fabuleuse dans un commissariat de police, et l'officialisation de son entrée dans l'établissement commençait à durer... Il se doutait qu'après l'entretient il aurait le droit à une belle journée de cours. Le directeur prit la parole, coupant court à ses réflexions.

« Votre travail d'intérêt général sera de... »

Ah ! Le travail d'intérêt général, il avait faillit l'oublier.

« ... nettoyer les toilettes. »

Ses yeux s'écarquillèrent.

« Ah ! »

Il n'avait plus s'empêcher de laisser s'échapper de sa gorge un son coupé, tenu et grave, de surprise. La sous-directrice eut un sourire sadique. Apparemment elle, elle était pleinement satisfaite. Cependant son sourire disparut instantanément quand le jeune homme répondit :

« Très bien. »

Il faillit rire en voyant sa bouche pincée et ses yeux mauvais, mais parvint à se retenir. Ça aurait été le bon moment pour qu'elle fasse claquer sa latte de fer qu'elle avait récupéré sur la boite crânienne du brun, et il en aurait certainement moins rit. Comprenant que l'entretient touchait -enfin- à sa fin, il tendit ses poignets à un policier avec un sourire d'ange qui détonnait avec ce qu'on avait dit de lui quelques minutes avant.

« S'il-vous-plait ! »

Le policier, sortit de sa poche une machine à l'allure assez étrange, puis avant que Jason n'est pu comprendre, lui enfonça sur le poignet droit, sur la face intérieure de son avant bras. Un Clac! sonore retentit et Jason ne put retenir un grognement et tira sur ses bras par réflexe, mais l'homme le tenait fermement. Quand il retira la machine, le jeune homme put voir sur son poignet meurtris une marque ressemblant à un tatouage. Le policier enleva finalement les menottes et Jason se retint de lui envoyer un poing dans la figure. Il passa doucement ces doigts sur la marque... 177 Il aurait pu en cet instant se comparer à un vulgaire mouton. Finalement il haussa les épaules puis se saisit de l'emploi du temps, du règlement et d'autres papiers importants que lui tendait la sous-directrice avec un air finalement satisfait de sa souffrance. Il la remercia avec un sourire insolant puis salua le directeur, partant avec un surveillant... pour ne pas dire gardien. Mais avant dépasser la porte il fut arrêter par deux hommes qui le fouillèrent intégralement. Le blond grogna en se disant qu'il étaient vraiment trop prévoyant, on l'avait déjà fouillé au commissariat. Ils ne trouvèrent rien de plus que là-bas d'ailleurs. Jason soupira, il se sentait nu sans son couteau et sa batte de baseball... Il partit donc finalement avec le gardien vers... un lieu inconnu.

« Vous êtes dans la chambre A;5 »

Jason le suivait docilement, repérant les lieux qu'il aurait certainement le temps de connaître par cœur. Le surveillant s'arrêta finalement devant une porte grise, totalement dénudée d'ornementation, et la poussa en disant :

« Vous êtes seul ici pour le moment, mais il ne tardera certainement pas à venir d'autres colocataires. »

Jason rentra dans la chambre, pas très spacieuse. Aucun espace n'était perdu. Trois lits simples, trois armoires, trois bureaux, rien de plus, une petite fenêtre ? Sur un lit avait été déposé un uniforme d'hivers et les portes d'une armoires étaient ouvertes, montrant plusieurs chemises, un uniforme d'été et une tenue de sport. Quelques cahiers étaient posés sur le bureau de bois blanc à côté. Jason s'assit sur son lit pour lire enfin le règlement. Il se mit à rire en voyant les sanctions. Rien de tel que la honte pour arrêter quelqu'un. Il frotta pensivement son poignet douloureux puis se leva. Il feuilleta rapidement ses livres puis les reposa sur son bureau.

Finalement, après avoir pris connaissance de son emploi du temps, il mit l'uniforme et partit manger. L'entretient avait duré toute la matinée... et il avait encore mal au poignet.
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